Author Archives: resiproc

Pratiques et réflexions autour des dispositifs d’apprentissage et de formation des communicateurs | 2014 | No 2

29303100660830LDirection de numéro : Valérie Lépine, Marc D. David

Cette seconde édition des Cahiers du RESIPROC est consacrée aux enjeux, aux modalités d’apprentissage et aux conséquences de la formation des communicateurs. La dispersion en de nombreux domaines ou activités des métiers de la communication invite à réinterroger le socle des compétences communes et des compétences spécialisées nécessaires à l’exercice de ces métiers. Ce numéro invite à penser l’articulation, dans un domaine particulièrement exposé à des évolutions incessantes, entre pratiques professionnelles et formation en communication.

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Le communicateur bousculé par le numérique. Quelles compétences à transmettre ? | 2016 | No 3

29303100328080lDirection de numéro : Alexandre Coutant, Jean-Claude Domenget

Cette troisième livraison des Cahiers du RESIPROC invite à renouveler l’approche des métiers du communicateur face à l’essor conjoint du numérique et d’Internet. Elle vise à répondre à un ensemble de questions en apparence simples : un communicateur numérique est-il différent d’un communicateur classique ? Les formations en communication doivent-elles être repensées ? De nouvelles compétences viennent-elles s’ajouter ou se substituer à celles traditionnellement attendues d’un communicateur ? Est-il plus pertinent de qualifier ces métiers par le support qu’ils emploient ou la finalité de communication demeure-t-elle primordiale ? Dans un premier temps, les textes rassemblés analysent comment le communicateur se trouve bousculé par le numérique et dans un second soulèvent la question des compétences à transmettre.

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Deuxième étude sur les pratiques professionnelles en communication au Canada

tudeMarc D. David, Bernard Motulsky, Marie-Eve Carignan, Alexandre Coutant, Nadège Broustau, membres actifs du RESIPROC, lancent la deuxième étude sur les pratiques professionnelles en communication au Canada.

Les professionnelles et professionnels de la communication sont invités à participer à la deuxième édition de l’étude sur les pratiques professionnelles de communications au Canada. Cette étude inédite permettra de mettre à jour et de modéliser les différentes pratiques professionnelles en communication au sein des entreprises et organismes canadiens.

Les participants contribueront ainsi, par leurs réponses, à l’avancement des connaissances scientifiques dans le domaine des pratiques professionnelles en communication. Des résultats de cette recherche seront par la suite diffusés au sein de l’industrie des communications et du marketing. Les réponses à ce questionnaire resteront totalement anonymes et strictement confidentielles.

Le questionnaire ne devrait pas prendre plus de 10 minutes à remplir.

Pour toute question concernant ce sondage vous pouvez joindre :

Marc D. David, professeur
+1-819-821-8000, p. 61317
info.recherche.flsh@usherbrooke.ca

Cette étude fait suite à la première Grande enquête sur les pratiques généralement admises en communication, qui avait donné le coup d’envoi aux activités du RESIPROC, en mai 2011.

Programme du colloque annuel 2017 du RESIPROC

BandeauInternetLe programme du colloque annuel du RESIPROC «La profession de communicateur : parcours atypiques et recherche de statut», qui se tiendra les 11 et 12 mai 2017 à l’Université McGill (Montréal, Canada), est maintenant disponible sur le site de l’ACFAS.

Mettant en relation enseignants-chercheurs, étudiants, professionnels et représentants associatifs, ce colloque sera l’occasion:

  • de faire un état des lieux sur les différentes formes d’hybridations professionnelles et les enjeux qu’elles supposent en matière de tensions dans les organisations et de limites dans les savoirs communs essentiels à la pratique (Shelby, 1993);
  • d’explorer les rationalités déontologiques, économiques, éthiques, politiques, sociotechniques derrière cette atypie (Coutant et Domenget, 2016; Maas et al., 2017);
  • d’interroger les formes et les orientations des formations, qu’elles soient inscrites au sein des établissements d’enseignement ou non, au regard de cette atypie (de la Broise et Morillon, 2014).

À travers ces thèmes, chercheurs, enseignants, étudiants-chercheurs et professionnels de l’espace francophone (Canada, Belgique, France, Maroc) pourront jeter un regard plus avisé sur une profession constamment en quête de légitimation, proposer des pistes de réflexion sur la question de l’adéquation entre l’enseignement et la pratique qui fait récursivement surface (Champy, 2009; Lepine & David, 2014; Broyles & Slater, 2014; Neill & Schauster, 2015) tout en soulevant les défis pour les professionnels, novices comme expérimentés, de cette atypie. Il offrira une focale à la fois micro (vécu et parcours des individus), et macro entourant les enjeux sociologiques (structuration de la formation, légitimations associatives, « déterminismes » socioéconomiques et technologiques) de la pratique professionnelle en communication.

Plus encore, nous souhaitons décloisonner la recherche universitaire et poursuivre le dialogue entre praticiens et chercheurs, entamé depuis cinq ans par le RESIPROC, par des échanges et la mise en place de partenariats pour mieux prendre acte de ces enjeux. Le colloque se terminera par une table ronde avec des professionnels de l’industrie des communications avec pour thème : « La redéfinition de la communication stratégique : points de rencontre entre relations publiques, affaires publiques et communication marketing? »

 

Appels à communication émanant de membres du RESIPROC

Plusieurs membres du RESIPROC participent à des appels à communication, que nous partageons ici.

AAC / Explorer la nature paradoxale des organisations hybrides

Les organisations hybrides sont mues par des valeurs, des idéaux et des mécanismes hétérogènes qui produisent des tensions qui les fragilisent.  À partir d’un dialogue entre professionnels et chercheurs, ce colloque explore les approches, méthodes, concepts et pratiques permettant de rendre compte de ces tensions et de la manière dont elles constituent l’hybridation organisationnelle.

Date limite d’envoi des communications : 10 février 2017.


AAC / Communiquer (sur) la radicalité

La radicalité politique – objet de nombreuses études en sociologie de l’action collective, mais aussi en philosophie – constitue un terrain d’enquête particulièrement fertile au regard de la variété des corpus qu’elle nourrit et des mobilisations qu’elle porte à gauche comme à droite. Lieu travaillé par des luttes symboliques visant la définition de la réalité (que celle-ci soit sociale, historique ou empirique), la parole radicale ressemble à cette « arène en réduction » dont parle Mikhaïl Bakhtine (1977 [1929] : 67). Une arène où s’illustrent, s’entrecroisent et s’affrontent visions du monde, idées, projets et dynamiques contradictoires. Ceci dit, malgré l’intérêt du terrain, les recherches dédiées à la radicalité, en communication politique comme en sciences du langage, n’en restent pas moins marginales. C’est à ce vide (au moins relatif) qu’entend répondre la présente journée d’étude en réunissant chercheurs pluridisciplinaires, professionnels et praticiens de la communication publique et politique.

Date limite d’envoi des communications : 15 février 2017

Parution du n°4 de la revue Communication & Professionnalisation

Dynamiques de professionnalisation en communication : entre ruptures et continuités, prescription et émancipation

Le réseau du RESIPROC est heureux de vous annoncer la parution du quatrième numéro de la revue scientifique Communication & Professionnalisation.

L’expansion et la segmentation des métiers de l’information et de la communication au sein des milieux professionnels, ces dernières années, ainsi que la multiplication de formations liées à la communication, sous toutes ses formes, rendent compte d’une dynamique de professionnalisation du secteur. Si cette dynamique est reconnue par les praticiens eux-mêmes, la difficulté à délimiter une expertise propre et des pratiques reconnues et légitimes persiste. Comment, en effet, départager le professionnel du praticien amateur ? Comment les communicateurs peuvent-ils faire valoir leur professionnalisme ? Comment peuvent-ils développer une identité de métier spécifique et comment définir celle-ci ? Dans quelle mesure le praticien peut-il exister professionnellement dans un monde de plus en plus communicant si son identité apparaît floue ou fragile ? Ce nouveau numéro vise à identifier les évolutions en cours dans le champ de la communication en entreprise et à analyser la posture des praticiens face à elles.

Commander le numéro au Presses universitaires de Louvain

 

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AAC – Colloque annuel du RESIPROC sur les parcours des communicateurs professionnels

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Appel à communications
Colloque annuel du RESIPROC 2017
11 et 12 mai 2017 | Université McGill (Montréal, Canada)

La profession de communicateur : parcours atypiques et recherche de statut

La profession de communicateur ou de communicatrice n’est pas un parcours unidirectionnel. Bien que les institutions d’enseignement de même que les associations professionnelles tentent, depuis nombre d’années, d’en baliser les trajectoires (Baillargeon et al., 2013), la complexité et la transdisciplinarité traversant la fonction communication dans les organisations rendent impossible – fort heureusement pourrait-on dire – de circonscrire les contours de ce qui fait “professionnel” en communication. Journalistes se convertissant aux relations publiques ou devenant producteurs de contenus (Baillargeon et al., 2016; Bernier et al., 2005); mathmen constituant les nouveaux communicateurs à l’aune du big data (Couldry et Turow, 2014; Messinger, 2014); responsables des RH endossant la fonction de communicateur interne (Talal, 2013), sans compter les croisements entre politique, marketing et communication (Kugler, 2006 ; Stenger, 2012) : autant d’indices que cette profession “échappe inévitablement à toute maîtrise systématique” (Champy, 2009, p. 84). Ainsi, l’observation de la polysémie et de l’équivocité des titres d’emploi (David and Motulsky, 2010; de la Broise, 2013), les fréquents amalgames professionnels et bifurcations floutant les frontières, les dynamiques d’entrée et sortie dans la profession, le foisonnement de formations “en communication” au courant de la vie témoignent de cette recherche constante de légitimation. Ce colloque international, organisé par le Réseau international sur la professionnalisation des communicateurs (RESIPROC), propose donc d’observer et d’interroger l’atypie du parcours professionnel en communication de sorte à en révéler les enjeux, les impacts sur la pratique effective de même que les tensions qu’elle engendre chez les praticiennes et praticiens, les associations et les milieux de formation. De plus, sept ans après la Grande enquête : vers une meilleure connaissance des pratiques en communication dans les organisations canadiennes (David & Motulsky, 2011), qui avait donné le coup d’envoi à la mise sur pied du RESIPROC, ce colloque sera l’occasion de présenter la deuxième édition de cette grande enquête menée auprès de plus de 700 professionnels de l’industrie.

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AAA – Trajectoires professionnelles en communication : atypies, hybridités et temporalités

Appel à articles – Communication & professionnalisation, vol.6, 2018

(Anciennement les Cahiers du Resiproc)

Les trajectoires professionnelles dans les métiers de la communication sont notoirement connues pour être atypiques. Bien que depuis de nombreuses années, nous ayons assisté à des tentatives de standardisation dans les établissements d’enseignement et dans les associations professionnelles (Baillargeon et al., 2013), souvent sous le coup d’une recherche de positionnement que d’un seul désir de rendre professionnelle la communication, les parcours professionnels des communicateurs demeurent hétérogènes (Coutant, 2009). La nature fondamentalement transdisciplinaire ou pluridisciplinaire de la communication appelle des professionnels aux compétences multiples, et aux postures éthiques parfois contradictoires (Maas et al., 2017). Se retrouvent ainsi confrontés des praticiens provenant de spécialisations aussi diversifiées que la sociologie, le marketing, la gestion, les ressources humaines, la politique, la psychologie.

Aussi voit-on des phénomènes de légitimation et de professionnalisation probants de cette atypie : capital professionnel bâti par « hopping » (McLeod, O’Donohoe et Townley, 2011; Nixon, 2003; Pratt, 2006) ou par des dynamiques de liens marchands (Cochoy, 2012); forte rhétorique sur le savoir, à défaut d’une pratique standardisée (Alvesson, 2004); quête constante et ambivalente d’un idéal déontologique et éthique (Maas et al., 2017); polysémie et équivocité des titres d’emploi (David et Motulsky, 2010); identification (ou «désidentification») à un statut professionnel (Jeffrey, Brunton, 2012); contestation du terme «professionnalisme» et croisement (nexus) d’importants questionnements théoriques et pratiques (Cheney et Aschcraft, 2007).

Cette quête incessante d’une professionnalité aboutit à une prolifération de formations et de certifications aux formats comme à la rigueur variables  (de la Broise et Morillon, 2014). Ainsi, les professionnels de la communication offrent des temporalités biographiques (Bessin, 2009; Dubar, 2004) atypiques, marquées par des retours aux études, de la formation tout au long de la vie, des oscillations entre projets personnels et projets professionnels, emploi en organisation et travail autonome ou consultation.

Par ailleurs, malgré des efforts de standardisation de la profession, la communication continue d’être le théâtre d’hybridations professionnelles. Les journalistes deviennent relationnistes ou producteurs de contenus (Baillargeon et al., 2016; Bernier et al., 2005); les mathmen deviennent les nouveaux communicateurs à l’aune du big data (Couldry et Turow, 2014; Messinger, 2014); les responsables des RH endossent la fonction de communicateur interne (Talal, 2013). Soulignons aussi les fertilisations croisées entre politique, marketing et communication (Kugler, 2006 ; Stenger, 2012) Bref, autant d’indices que cette profession “échappe inévitablement à toute maîtrise systématique” (Champy, 2009, p. 84).

Depuis le lancement, en 2011, du RESIPROC, entre autres sous le coup du dévoilement de la Grande enquête sur les pratiques généralement admises (David et Motulsky, 2010), les activités du Réseau ont pu relever l’atypie des parcours des professionnels, dont la reconnaissance demeure constamment à faire. Soumise à des tensions (Baillargeon et al. 2013), à des dispositifs d’apprentissage instables (Lépine et David, 2014), à des transformations portées par le numérique (Coutant et Domenget, 2015), des prescriptions et des dynamiques d’émancipation (Brulois et al., 2017); des tensions éthiques (Maas et al., à paraître), cette professionnalisation reste à légitimer.

Pour cette 6e parution de Communication & professionnalisation, les auteurs sont invités à soumettre des réflexions théoriques, empiriques ou pratiques sur les trajectoires des professionnels de la communication.

Plus particulièrement, mais de façon non exclusive, sont attendues des réflexions portant sur les quatre axes suivants :

  1. les différentes temporalités professionnelles des communicateurs : temps de formation et temps professionnels; les chevauchements de ces temporalités et les dynamiques socioprofessionnelles (mise à jour nécessaire des connaissances, mutation des pratiques sous le coup du numérique, mondialisation et mobilité, injonctions des associations professionnelles, etc.) les engendrant;
  2. les hybridités des parcours : comment différentes professions se chevauchent, se contaminent, se combinent avec les tensions que ces amalgames génèrent et participent ou non à la professionnalisation;
  3. l’(a)typie des parcours de formation, qu’ils soient institutionnalisés ou non, de même que les rationalités derrière leur existence;
  4. les vecteurs influant ces trajectoires, qu’ils soient d’ordres déontologiques, économiques, éthiques, politiques, sociotechniques.

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[Extension] AAA : Créativité et organisation : une tension communicationnelle

Deux membres du RESIPROC, Dany Baillargeon et Alexandre Coutant, lancent un appel à article :

Créativité et organisation : une tension communicationnelle

Nouvelle date limite de réception des propositions :
31 janvier 2017

 Nombre d’auteurs ont abordé la relation organisation et créativité du point de vue de la gestion de l’innovation (Auger, 2009 ; Hauch, 2002 ; King, 1990 ; Paris, 2007), du climat ou, encore, des conditions facilitatrices (Amabile et al., 1996). Plusieurs ont investi le champ des industries créatives et de la sociopolitique de la créativité et de l’innovation, tentant de repérer les conditions socioéconomiques produisant des externalités créatives (Delgado, Porter et Stern, 2010 ; Florida, 2003 ; Hutton, 2006 ; Simon, 2009).

 Toutefois, la dimension communicationnelle est souvent occultée, comme si les fonctions et les structures se vivaient hors des interactions et des relations (Trujillo, 1983).

 Ainsi, quel rôle joue la communication organisationnelle dans sa dissémination, sa légitimation ou, à l’inverse, son inhibition ? Comment, d’un point de vue communicationnel, performe-t-on ou incarne-t-on la créativité au sein des organisations (Cooren, 2010 ; Gaertner, 2010), et comment se transmettent et se débattent les différentes idéologies de la créativité (Baillargeon, 2014 ; Hackley et Kover, 2007) entre les corps de métiers (Drazin, 1990, Drazin et al., 1999 ; Hirschman, 1989), malgré l’apparente incommunicabilité de la nature même de la création (Paris, 2010). Ainsi, nous proposons d’encourager l’étude de la créativité en interrogeant le caractère constitutif ou organisant des tensions, des performances et des discours faits au nom de cette créativité.

Pour plus de détails sur les modalités de proposition, les axes à développer, consultez l’appel à communication à l’adresse suivante : http://communiquer.revues.org/1839

AAA : Créativité et organisation : une tension communicationnelle

Deux membres du RESIPROC, Dany Baillargeon et Alexandre Coutant, lancent un appel à article :

Créativité et organisation : une tension communicationnelle

Date limite de réception des propositions : 15 décembre 2016

 Nombre d’auteurs ont abordé la relation organisation et créativité du point de vue de la gestion de l’innovation (Auger, 2009 ; Hauch, 2002 ; King, 1990 ; Paris, 2007), du climat ou, encore, des conditions facilitatrices (Amabile et al., 1996). Plusieurs ont investi le champ des industries créatives et de la sociopolitique de la créativité et de l’innovation, tentant de repérer les conditions socioéconomiques produisant des externalités créatives (Delgado, Porter et Stern, 2010 ; Florida, 2003 ; Hutton, 2006 ; Simon, 2009).

 Toutefois, la dimension communicationnelle est souvent occultée, comme si les fonctions et les structures se vivaient hors des interactions et des relations (Trujillo, 1983).

 Ainsi, quel rôle joue la communication organisationnelle dans sa dissémination, sa légitimation ou, à l’inverse, son inhibition ? Comment, d’un point de vue communicationnel, performe-t-on ou incarne-t-on la créativité au sein des organisations (Cooren, 2010 ; Gaertner, 2010), et comment se transmettent et se débattent les différentes idéologies de la créativité (Baillargeon, 2014 ; Hackley et Kover, 2007) entre les corps de métiers (Drazin, 1990, Drazin et al., 1999 ; Hirschman, 1989), malgré l’apparente incommunicabilité de la nature même de la création (Paris, 2010). Ainsi, nous proposons d’encourager l’étude de la créativité en interrogeant le caractère constitutif ou organisant des tensions, des performances et des discours faits au nom de cette créativité.

Pour plus de détails sur les modalités de proposition, les axes à développer, consultez l’appel à communication à l’adresse suivante : http://communiquer.revues.org/1839