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Publication de l’ouvrage «Communications & organisations : accélérations temporelles»

Capture d’écran 2017-07-10 à 09.45.43.pngValérie Lépine, membre active du RESIPROC, Sylvie Alemanno et Christian Le Moënne viennent de lancer l’ouvrage Communications & organisations : accélérations temporelles, aux éditions L’Harmattan.

Cet ouvrage propose dans sa globalité d’observer le couplage communications/organisations et ses temporalités. Qu’elles soient transformées par le numérique, par la mondialisation ou encore par les politiques publiques voire par une combinaison de ces différents éléments, les temporalités organisationnelles en transformations tendent davantage vers l’accélération que vers une gestion humainement raisonnable du temps de travail et au travail. L’accélération temporelle en organisations comporte autant de risques humains et techniques qu’elle est source de créativité (creusée par le processus d’adaptation) dans les restructurations organisationnelles et les pratiques professionnelles.

Les rationalités temporelles qu’elles soient en plan, en flux ou en normes d’action (Partie 1) peuvent s’imposer comme des nécessités face aux dyschronies mais elles en sont parfois aussi à l’origine (Partie 2). Elles déclenchent en retour des phénomènes de réappropriations plurielles (Partie 3) adaptatives et parfois très créatives dans des environnements ou dans des pratiques qui tentent d’échapper aux contraintes temporelles, ou tout au moins de les redéfinir partiellement.

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[Extension] AAA : Créativité et organisation : une tension communicationnelle

Deux membres du RESIPROC, Dany Baillargeon et Alexandre Coutant, lancent un appel à article :

Créativité et organisation : une tension communicationnelle

Nouvelle date limite de réception des propositions :
31 janvier 2017

 Nombre d’auteurs ont abordé la relation organisation et créativité du point de vue de la gestion de l’innovation (Auger, 2009 ; Hauch, 2002 ; King, 1990 ; Paris, 2007), du climat ou, encore, des conditions facilitatrices (Amabile et al., 1996). Plusieurs ont investi le champ des industries créatives et de la sociopolitique de la créativité et de l’innovation, tentant de repérer les conditions socioéconomiques produisant des externalités créatives (Delgado, Porter et Stern, 2010 ; Florida, 2003 ; Hutton, 2006 ; Simon, 2009).

 Toutefois, la dimension communicationnelle est souvent occultée, comme si les fonctions et les structures se vivaient hors des interactions et des relations (Trujillo, 1983).

 Ainsi, quel rôle joue la communication organisationnelle dans sa dissémination, sa légitimation ou, à l’inverse, son inhibition ? Comment, d’un point de vue communicationnel, performe-t-on ou incarne-t-on la créativité au sein des organisations (Cooren, 2010 ; Gaertner, 2010), et comment se transmettent et se débattent les différentes idéologies de la créativité (Baillargeon, 2014 ; Hackley et Kover, 2007) entre les corps de métiers (Drazin, 1990, Drazin et al., 1999 ; Hirschman, 1989), malgré l’apparente incommunicabilité de la nature même de la création (Paris, 2010). Ainsi, nous proposons d’encourager l’étude de la créativité en interrogeant le caractère constitutif ou organisant des tensions, des performances et des discours faits au nom de cette créativité.

Pour plus de détails sur les modalités de proposition, les axes à développer, consultez l’appel à communication à l’adresse suivante : http://communiquer.revues.org/1839

AAA : Créativité et organisation : une tension communicationnelle

Deux membres du RESIPROC, Dany Baillargeon et Alexandre Coutant, lancent un appel à article :

Créativité et organisation : une tension communicationnelle

Date limite de réception des propositions : 15 décembre 2016

 Nombre d’auteurs ont abordé la relation organisation et créativité du point de vue de la gestion de l’innovation (Auger, 2009 ; Hauch, 2002 ; King, 1990 ; Paris, 2007), du climat ou, encore, des conditions facilitatrices (Amabile et al., 1996). Plusieurs ont investi le champ des industries créatives et de la sociopolitique de la créativité et de l’innovation, tentant de repérer les conditions socioéconomiques produisant des externalités créatives (Delgado, Porter et Stern, 2010 ; Florida, 2003 ; Hutton, 2006 ; Simon, 2009).

 Toutefois, la dimension communicationnelle est souvent occultée, comme si les fonctions et les structures se vivaient hors des interactions et des relations (Trujillo, 1983).

 Ainsi, quel rôle joue la communication organisationnelle dans sa dissémination, sa légitimation ou, à l’inverse, son inhibition ? Comment, d’un point de vue communicationnel, performe-t-on ou incarne-t-on la créativité au sein des organisations (Cooren, 2010 ; Gaertner, 2010), et comment se transmettent et se débattent les différentes idéologies de la créativité (Baillargeon, 2014 ; Hackley et Kover, 2007) entre les corps de métiers (Drazin, 1990, Drazin et al., 1999 ; Hirschman, 1989), malgré l’apparente incommunicabilité de la nature même de la création (Paris, 2010). Ainsi, nous proposons d’encourager l’étude de la créativité en interrogeant le caractère constitutif ou organisant des tensions, des performances et des discours faits au nom de cette créativité.

Pour plus de détails sur les modalités de proposition, les axes à développer, consultez l’appel à communication à l’adresse suivante : http://communiquer.revues.org/1839